Téléchargeable ici : AuRArmées, la lettre de nouvelles de la zone de défense sud-est. Editée mensuellement, elle ambitionne de faire connaitre, à travers un produit simple, les Armées et leurs missions, notamment à travers le prisme de leur actualité.
mercredi 28 octobre 2020
mardi 27 octobre 2020
Le Charles de Gaulle. Immersion à bord du porte-avions nucléaire
Raynal Pellicer a passé dix-huit jours à bord du Charles de Gaulle. Il était accompagné du dessinateur Titwane. Ensemble, ils livrent un reportage de 200 pages d’une justesse éblouissante. A la rencontre des hommes et des femmes du porte-avions, sans distinction de grade, ni tabou.
Lire l'article complet sur AEROBUZZ ; par GIL ROY
samedi 24 octobre 2020
Présentation des capacités de l'armée de Terre 2020
Elle regroupe environ 400 soldats et une quarantaine de véhicules, engins et aéronefs de tous types.
vendredi 23 octobre 2020
Armée de Terre : Un insigne de béret spécifique pour les spécialistes de la guerre électronique
PAR LAURENT LAGNEAU · 12 OCTOBRE 2020
De telles particularités font partie de ce que l’on appelle la « culture d’arme ».
jeudi 22 octobre 2020
L’ALAT recevra des NH90 Caïman « forces spéciales » à partir de 2025.
La commande de dix hélicoptères NH90 Caïman qui équiperont le 4ème Régiment d’Hélicoptères des Forces Spéciales, a été confirmée par la ministre des armées. Au menu, un sérieux effort sur les capacités tout temps des appareils et des évolutions qui pourraient, à terme, trouver également le chemin des forces conventionnelles.
jeudi 1 octobre 2020
Les jeunes-IHEDN aux commandes des caméras et micros
Le Général Thierry Burkhard, chef d’état-major de l'armée de Terre, nous présente son métier et les défis à venir pour l'armée de Terre dans notre dernier DROP : un interview rythmé et décalé avec des personnalités et autorités liées aux questions de défense et de sécurité.
mardi 29 septembre 2020
Nouvelles des Forces
Brest. Un nouveau patron pour les forces sous-marines..
La brochure "Chiffres clés de la Défense - 2020" est à télécharger ici. * * * |

L’amiral commandant les forces sous-marines et la force océanique stratégique (Alfost) est le vice-amiral d’escadre Jean-Philippe Chaineau.© DR/MARINE NATIONALE/PM OLIVIER LECOMTE
Marié et père de deux enfants, âgé de 57 ans, le vice-amiral d’escadre Jean-Philippe Chaineau est, depuis le 1er septembre 2020, le nouvel amiral commandant les forces sous-marines et la force océanique stratégique (Alfost). Il succède, dans cette fonction, à l’amiral Bernard-Antoine Morio de l’Isle, nommé inspecteur général des armées marine (Igam).
25 000 heures de plongée
Admis à l’École navale en 1982, Jean Philippe Chaineau s’est rapidement spécialisé dans la lutte sous la mer. Breveté atomicien de l’école des applications militaires de l’énergie atomique de Cherbourg, l’amiral a passé la majeure partie de sa carrière au sein des forces sous-marines, au service de la dissuasion nucléaire, totalisant plus de 25 000 heures de plongée.
À la mer, il a commandé le sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) Saphir puis le sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE) Le Triomphant. À l’état-major d’Alfost, il a commandé successivement les postes de sous-chef d’état-major « opérations » puis de chef d’état-major.
Programme des nouveaux SNA
Admis à la 7e promotion du Collège Interarmées de Défense puis affecté à l’État-major de la Marine nationale en qualité d’officier de programme des nouveaux sous-marins nucléaires d’attaque, l’amiral Chaineau a également été sous-directeur de la délégation aux affaires stratégiques, chargé du « Contrôle et de la lutte contre la prolifération ».
Auditeur (58e session) du centre des hautes études militaires et de l’Institut des hautes études de la défense nationale (IHEDN), il a été nommé contre-amiral en 2014, occupant le poste de sous-chef d’état-major « Plans et programmes » à l’État-major de la Marine.
Les forces spéciales de l’armée de l’Air & de l’Espace désormais réunies au sein d’une brigade dédiée
PAR LAURENT LAGNEAU · OPEX 360
Annoncé en janvier dernier, le plan #AIRFUSCO25 vise à revoir à la hausse les exigences en matière de formation des fusiliers et des commandos de l’air, à moderniser les moyens de la mission sécurité protection de la Force protection Air [FPA], à améliorer la préparation opérationnelle et à « rénover » la Force commando Air [FCA], le Commando Parachutiste de l’Air [CPA] n°30 devant rejoindre le CPA 10. En outre, il s’agit également simplifier les procédures et de revoir la politique en matière de ressources humaines.
C’est donc dans le cadre de ce plan que l’armée de l’Air & de l’Espace a regroupé ses forces spéciales au sein d’une structure dédiée, comme l’ont déjà fait la Marine nationale [FORFUSCO] et l’armée de Terre [commandement des forces spéciales terre] avec les leurs. D’où la création, ce mois-ci, d’une « Brigade des forces spéciales Air » [BFSA] au sein du Commandement des forces aériennes [CFA].
« La mise en place de cette nouvelle brigade va optimiser la préparation au combat des FSA et des unités air concourant aux opérations spéciales, mais aussi des unités de FPA, dans le but de démultiplier leur efficacité dans les opérations spéciales ou conventionnelles », justifie le ministère des Armées.
Cette réorganisation fait que, désormais, les unités aériennes dédiées aux opérations spéciales, à savoir l’Escadron de Transport [ET] 3/61 « Poitou » et l’Escadron d’Hélicoptères [EH] 1/67 « Pyrénées », font partie de la même brigade que les CPA 10 et 30.
Cette BFSA, forte de 4.200 aviateurs, mettra ses capacités et ses savoir-faire [action dans la profondeur, recherche et sauvetage au combat, appui aérien, protection, etc…] à la disposition Commandement des opérations spéciales [COS], du Centre de planification et de conduite des opérations [CPCO] et du Commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes [CDAOA].
Outre les deux unités aériennes et les CPA 10 et 30, la BFSA réunit le Centre air de saut en vol [CASV], le Centre de préparation opérationnelle du combattant de l’armée de l’Air [CPOCAA] ainsi que les formations de la FPA, à savoir le CPA 20, les escadrons de protection [EP] et Centre de formation à la survie et au sauvetage [CFSS].
« Motrice dans le domaine de l’Air Surface Integration, la BFSA poursuivra conjointement ses travaux avec les autres composantes de l’armée de l’Air & de l’Espace, en coordonnant son action avec toutes les unités conventionnelles œuvrant au profit des opérations spéciales, tout en conservant un rôle clé dans la formation du combattant », résume le ministère des Armées.
Photo : © armée de l’Air & de l’Espace
SCORPION : Le ministère des Armées commande un second lot de blindés Griffon et Jaguar
PAR LAURENT LAGNEAU · OPEX 360
En avril 2017, la Direction générale de l’armement [DGA] commanda 319 Véhicules blindés multi-rôles [VBMR] « Griffon » et 20 Engins blindés de reconnaissance et de combat [EBRC] « Jaguar » dans le cadre du programme SCORPION [Synergie du contact renforcée par la polyvalence et l’infovalorisation] de l’armée de Terre.
Depuis, selon les chiffres clés de la Défense, 220 VBMR « Griffon » étaient entrés en dotation au 1er juillet 2020. En outre, l’armée de Terre attend, d’ici la fin de cette année, la livraison de ses quatre premiers exemplaires du Jaguar, lequel est destiné, avec son canon de 40 mm à munitions téléscopées, ses Missile moyenne portée (MMP) et son tourelleau téléopéré, à remplacer les chars AMX-10RC ainsi que les VAB HOT et les ERC-90 Sagaie, dont il ne reste plus qu’une quarantaine d’unités.
D’ici 2021, neuf régiments devront être équipés de Griffon, l’objectif étant de pouvoir déployer un premier groupement tactique interarmes [GTIA] « Scorpion » à cette échéance.
Cela étant, et sans attendre la fin des livraisons attendues, la DGA a lancé une deuxième tranche de production de ces deux types de blindés le 15 septembre dernier, en notifiant une nouvelle commande de 271 Griffon et de 42 Jaguar à Nexter Systems, Arquus et Thales, qui constituent le Groupement momentané d’entreprises [GME] « Scorpion ». Ces véhicules seront livrés entre 2022 et 2023.
Pour rappel, la Loi de programmation militaire [LPM] 2019-25 a revu à la hausse le nombre de blindés qu’aura à mettre en œuvre l’armée de Terre, avec 1.872 Griffon et 300 Jaguar à l’horizon 2030. La moitié devra être livrée d’ici 2025.
« Via cette commande, c’est toute la Base industrielle et technologique de Défense [BITD] française du domaine terrestre qui est irriguée. Les trois maîtres d’œuvre vont en effet répercuter sous quelques jours les commandes à leurs sous-traitants et fournisseurs. On estime ainsi que le plan de charge des Griffon et Jaguar représente près de 2.000 emplois directs hautement qualifiés », a fait valoir le ministère des Armées, qui n’a pas bénéficié de mesures spécifiques dans le plan de relance de l’économie, hormis la commande d’hélicoptères pour l’armée de l’Air et de l’Espace et de drones aériens pour la Marine nationale.
À noter que, en décembre 2019, une commande portant sur 54 Griffon dotés du mortier MEPAC avait été passée par la DGA pour les unités d’artillerie. Leur livraison doit commencer en 2023 pour s’étaler jusqu’en 2027.
Photo : © Nexter
dimanche 27 septembre 2020
vendredi 18 septembre 2020
PLAQUETTE ESCC 2030 : “AFFRONTER DEMAIN CE QUI N’A JAMAIS ÉTÉ”
Imaginer ce qui caractérisera les conflits à venir est une obsession du chef militaire, confronté à la responsabilité de préparer aujourd’hui ceux qui combattront demain. Le sujet prend naturellement l’allure d’un défi à relever aux écoles de Saint-Cyr Coëtquidan (ESCC), où il s’agit de former les chefs qui décideront du sort de la bataille et, peut-être, du pays tout entier.
L’ambition du projet « ESCC – 2030 » est de permettre à l’armée de Terre de disposer de ces chefs, en se fixant comme horizon d’étude le moment où nos jeunes élèves-officiers seront capitaines, à la tête d’unités élémentaires « Scorpion », disposant des équipements d’une armée de premier rang ;
• leur permettre de passer d’un théâtre d’engagement à l’autre, sans préavis ;
• leur permettre de se montrer aussi à l’aise en France qu’à l’étranger, dans un engagement rapide et victorieux ou dans un conflit long et incertain ;
• leur permettre de maîtriser une technologie complexe autant que de s’en passer ;
• leur permettre enfin de prendre des décisions qui engageront la vie de leurs hommes, d’autres hommes, et la leur. Et de l’assumer.
Ce qui attend aujourd’hui ces jeunes Français aspirant à devenir officiers n’est finalement ni anodin ni surprenant. Le métier de soldat n’a jamais changé de finalité, ni perdu de son sens, la violence et la guerre n’étant pas subitement devenues vestiges de l’Histoire. Qui le nierait encore ? "
Général Patrick COLLET, commandant les écoles de Saint-Cyr Coëtquidan
lundi 14 septembre 2020
La guerre du futur selon l’armée de Terre
lundi 31 août 2020
Nicolas Fournier devient DSI desArmées en remplacement d'Arnaud Coustillière
samedi 29 août 2020
lundi 17 août 2020
vendredi 3 juillet 2020
Une nouvelle vision stratégique pour l’armée de Terre
Article à lire intégralement ici.

mardi 16 juin 2020
L'Intégration Numérique des Armées : Rapport de recherches de l'IESD
Antony Dabila - L'Intégration Numérique des Armées
par Antony Dabila
Résumé
bouleversements organisationnels et humains qui ne peuvent être appréhendés
d’un simple point de vue technique ou technologique. À l’hypothèse d’un milieu
« cyber » distinct des autres fonctions des armées, nous proposons de
substituer une analyse humaine et sociologique centrée sur le processus de
« numérisation des forces ». Ce décentrement débouche sur plusieurs concepts
qui permettent de compléter et d’enrichir l’analyse des processus de prise
de décision stratégique. De ce point de vue, la création d’unités dédiées à
la lutte informatique n’est sans doute que l’une des étapes nécessaires à une
« intégration numérique des armées », laquelle nécessitera in fine une
transformation et une adaptation de l’ensemble des forces au nouveau système
technique de commandement et de coordination numérisé. Il semble dès lors
nécessaire de distinguer « l’incorporation numérique tactique » de la
« conjonction numérique stratégique », afin de remettre en perspective
les dynamiques futures du processus de transition numérique des armées.
A propos de l’auteur
de Défense. Ses recherches portent sur les transformations du milieu humain
constitué par les combattants et la manière dont la pensée stratégique
s’adapte à ses transformations. Il enseigne la stratégie et les politiques de
défense et de sécurité à l’université Lyon-III-Jean Moulin, Sciences Po Lyon et
l’Institut Mines Télécom.
TÉLÉCHARGEMENT
Antony Dabila - L'Intégration numérique des armées
dimanche 7 juin 2020
La lettre d'information du Chef d'état-major de l'armée de Terre, "Au Contact" n° 45
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